Face aux diverses interventions pratiquées par le chirurgien-dentiste, diverses questions se posent devant le coût et la facturation de ce dernier. Du coup, le dentiste est considéré comme un vendeur de conseils ou de soins. De l’autre côté, le patient est traité comme un consommateur qui a une pathologie et qui a donc besoin de traitements. Pourtant, il est important de savoir que la santé n’est pas un commerce. Le chirurgien-dentiste a pour mission de respecter la vie et la personne humaine. Malgré cela, le droit de la consommation semble s’étaler et s’impose dans le domaine médical afin de privilégier l’acte de consommation. Ainsi, il faut savoir estimer la qualité de la prise en charge du chirurgien et sa compétence à satisfaire les besoins de ses patients.
Comment bien gérer la communication avec le patient et bien diriger ses assistants ?
Dans le domaine de la communication, le patient ne demande pas à être convaincu mais à être éclairé. De ce fait, le dentiste ne doit pas adopter la capacité relationnelle transversale de base. Il est primordial pour le chirurgien dentiste d’avoir une bonne relation et une bonne conversation avec le patient. Savoir communiquer avec ses assistants ainsi qu’avec le personnel administratif est également important. Il s’agit en effet de partager les connaissances et expériences dans les tâches médicales. Par conséquent, promouvoir une bonne communication avec le patient est une excellente motivation pour que ce dernier ait une bonne hygiène bucco-dentaire à travers le soin.
Cela implique une certaine transparence dans le traitement de son dossier médical. En conséquence, aucune faille ne devrait être présente vu que le dialogue s’installe. En outre, le médecin a pu déléguer à ses employés la responsabilité de bien communiquer. Il est donc essentiel de savoir que la relation thérapeutique commence dès le premier appel téléphonique qui mène au rendez-vous de la première consultation. Ce qui signifie que cette relation de confiance thérapeutique peut être rompue si le praticien s’avère être un mauvais orateur.
En quoi le cabinet dentaire n’est plus considéré comme une petite entreprise ?
La polyvalence est l’une des causes de dérives entrepreneuriales des cabinets dentaires car il existe un manque, tant pour les normes de travail que pour la répartition des tâches. Dans ce cas, avoir une assistante polyvalente qui accomplit aussi bien les tâches cliniques qu’administratives et logistiques, peut être confondu avec la gestion d’une petite entreprise. Par contre, un cabinet dentaire doté de compétences exclusives et d’une collaboration opératoire et exécutante fonctionne tel un cabinet médical organisé.
Comment la gestion de l’argent influence-t-elle la vision ?

Le praticien a pour rôle de préserver son image de soignant. Seule la partie administrative sera assurée par la secrétaire. Comme le patient a le droit d’avoir un maximum de transparence sur le plan financier, le chirurgien-dentiste se doit de s’occuper du coût du traitement, outre les ressources intellectuelles, les compétences techniques à la réalisation du diagnostic jusqu’à l’élaboration du plan de traitement bucco-dentaire.
Etant donné que l’argent et les soins médicaux ne fassent pas toujours bon ménage, il est primordial d’arrêter l’ingérence de la relation d’argent en se basant sur le principe que le patient n’est pas un consommateur de soins.

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