Quels sont les bienfaits du sport ?

Des études ont démontré qu’une activité physique régulière et modérée était excellente pour la santé.

Le PNNS (Programme National de la Nutrition et de la Santé) recommande au minimum 30 minutes d’activité physique par jour (marche rapide, jardinage, ménage, sport…) afin de rester en bonne santé. Il ne faut pas non plus tomber dans l’extrême et pratiquer du sport à outrance car les effets ne seraient plus bénéfiques et l’organisme s’en trouverait épuisé…

En quoi une activité physique modérée et régulière est-elle bénéfique à l’organisme ?

– Le sport est bon pour le système cardio-vasculaire : il protège des maladies cardio-vasculaires : le coeur s’adapte mieux face à un effort banal (comme par exemple monter les escaliers) et la circulation sanguine est améliorée. Il permet également de réduire le mauvais cholestérol (LDL-cholestérol) et de mieux contrôler la glycémie chez les diabétiques. De plus, le sport permet d’améliorer sa capacité respiratoire.

– Bon pour les os et le métabolisme de base : la masse musculaire se développe et plus celle-ci est importante, plus nous brûlons de calories (même au repos).  Le sport permet également de redessiner sa silhouette : nous perdons de la masse grasse et nous gagnons en masse musculaire. Qui plus est, les os s’en trouvent renforcés et cela freine le processus d’ostéopose (perte de masse osseuse plus importante après la ménopause).

– Bon pour le moral : la pratique d’une activité physique permet de libérer des endorphines qui ont un effet apaisant. En clair, on libère son stress et on est plus serein. On parvient ainsi à mieux dormir la nuit.

– Bon pour l’estime de soi : le fait de s’imposer une activité physique régulièrement permet de se fixer un but, d’avoir une certaine volonté et d’accroître sa confiance en soi.

– Bon pour le système immunitaire : la pratique d’une activité physique régulière aurait pour conséquence d’augmenter le nombre de globules blancs, ce qui implique qu’un microbe pénétrant dans notre organisme serait plus vite repéré et neutralisé. Les cellules tumorales auraient elles aussi plus de chances d’être repérées par notre système immunitaire et détruites. Le risque d’avoir un cancer serait ainsi plus faible chez les sportifs que chez les sédentaires.